Au pays de Blondie (Lily)

Cette académie était un enfer. Non sérieusement, est ce qu'il était normal d'avoir autant de blonds au métres carrés ? Beth palisait à chaque couloir passé, s'énervait contre chaque blond collant avec leurs yeux bleus de mrle en frie ! Ah non, non et non jamais tout sauf le blond ! Heureusement il n'y avait pas encore de prof' blond en même temps cela devait être une espéce bien rare... Beth ricanna, et se dirigea vers les jardins en espérant bien ne pas se faire agresser par une magnifique blondeur. Argh, en plus elle voyait des Evri partout, chaque blonde était pour elle une potencielle femme de son Jared.

Sos, brune en perdission au pays de Blondies.

[mdr ça commence si bien <3]

Voila, ça fait deux jours que je suis rentrée de France, & trois heures que je me suis installer de nouveau sur mon cher lit de brodore & ses magnifiques couleurs. Mélanie n'était pas dans le dortoir, ainsi que Daniel lui était ... absence, oui je crois que c'est le mot qui convient, même si je sais parfaitement qu'il est avec ma très chère Héléna. Je souris à cette pensée. je passe devant le miroire de notre salle de bain, me regarde un peu, un moment, mes mèches sont toutes de nouveaux blonde, enfin plus de marque de rousse à droit à gauche, à croire que trainer chez les bandit on à plus le temps de s'entretenir. Mes bras son recouvert par un tissu légé elfique, qui cache avec une grande perfection, les coups de poingnard dragon que j'ai reçut durant mes parcours de Paris. Grâce aux soins prodigieux de Nast, j'ai réussi à me remettre sur pied. Mes cernes sont parties, en toutes totalité, merci à Nina, la femme maintenant de mon frère (& oui ils se sont mairé il y à une semaine) pour ses magnifique astuces anti-cernes & poche. Ah autres détailles qui me fait sourire, oui vous ne pouvez pas le voir, mais voila je le sais, mes poumons sont en voie de réparation, enfin je devrais dire guérison. Oui c'est bon je gobe tous les médicament que Nast me confie, acceptant de me faire soigner car mon père est de retour. Enfin de retour sans aucun souvenir de sa fille & ses fils, mais oublions les détails génant. Je penses à Jared un moment,& décide alors que maintenant que j'étais guéries & plus ... potable, je pourrais aller le voir, manque de chance pour moi le dortoir de Gremort c'est retrouver totalement vide.
Alors me retrouvant un peu seul, je décide de profiter du magnifique parc que me propose Nogare, le soleil est au rendez vous, avec ses petits nuages blanc dans le ciel. & en compagnie, j'ai le droit à un doux vent chaud. Je me stop dans ma marche & ferme les yeux, comme ça fait du bien ... d'être rentrée

Lily Evri a écrit:

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Alors me retrouvant un peu seul, je décide de profiter du magnifique Jared que me propose Nogare

[Sa c'est du labsus !]

Alors que Betty s'était laissé choire sur un banc pour profiter de la vue du soleil se repercutant sur l'eau du lac du jardin, elle avait remarqué avec dégout et fatigue un blonde qui se balladait, le nez en l'air, les yeux fermés. Aussitot monta en la reine ue inexplcable envie de jeter un petit calliou sur la blonde pour la voir se réveiller, mais elle ne le fit pas, d'une aprce que c'était d'une puérilité sans nom et de deux parce que la pauvre devait être bien simple d'esprit. Que voulez vous c'est de naissance.

Attention à ne pas tomber !

Lacha t'elle d'une voix moqueuse alors que la blonde passait devant elle. Une voix dont on perçevait la richesse d'éducation et beaucoup de sinisme.

[xD Zut alors je change tout ça xDDDD ]

j'ouvres les yeux, je n'aimes pas se ton, il me rapelle mon passé, mon présent & mon futur. j'ouvre doucement mes pupilles verte & regarde la personne en face de moi. Oh une nouvelle, enfin je crois, dut moins elle est là pas depuis plus de trois mois j'en suis sure, je connaissais toutes les têtes de Nogare, mais avec la rentrée il y a toujours des petits nouveaux. Je ne veux plus tenir à mes manière bourgoiese, je n'ai pas envie qu'elle sache que je viens d'une haute famille, même si je sais certain détailles marqueront forcément, dans ma façons d'être, mais pas dans celle de parler, à force de vivre dans les banlieux que se soit française où anglaise, on apprend vite à ne plus se faire remarquer. Je lève les épaules, elle me croit niaise, & bien tant mieux pour elle, je pourrais la surprendre au moins. Je souris sans vraiment sourire.

merci du conseil, je suis blonde où quoi ? non je suis rousse, mais ça maintenant rare sont ceux qui le sache , & tant mieux, car dans les familles riches, on me connait toujours comme la princesse Lily Evri la rousse, la seule fille rousse des grande familles, si c'est pas domage ça !

Betty Joy n'était plus reçu en sociéte depuis quel avec piqué le prince de Macédoine Henry Jinjoy à la princesse de Malte et qu'elle s'était permis de faire l'étalage de ses prouesses sexuelles en pleins diner... Ok pas trés classe, mais la princesse Victoria était blonde et prétencieuse, un mauvais coktail doc aux yeux implaccable de Beth, du coup elle ne savait pas que Lily Evri (cette blonde) qui avait épousé son Jared était une vraie fausse blonde...Enfin, quand la blonde consentit à rouvrir les yeux et à toure son visage vers elle, elle eut un petit sursaut, voila qu'elle jouait de mal chance.

Lily Evri je suppose.

Ce n'était pas une question, c'était une affirmation, elle l'avait reconnu, grâçe à la photo que lui avait envoyé Jad' le lendemain de son mariage en écrivant au dos ": Si je ne joue pas de mal chance Beth ! Garde moi une plaçe entre tes draps..." Pff, tu parles, il n'était jamais revenu, même s'il lui avait toujours assuré préférer les brunes. Bast.

Chassant ses douloureux souvenirs, elle se leva avec un sourire magnifique (trop beau pour être vraie) et tandis sa main droite à la blonde (beurk).

Je suis Beth, la cousine de Jared.

Garde tes amis proche de toi, tes ennemies encore plus.

Je regarde la jeune fille quand elle dit mon nom & mon prénom je grimace. LILY VON WODSEN, zut alors, il va falloire que je change réelement ça sur mon papier, je suis fière de porter le nom de mon époux, mais pour le moment je ne préfère rien répliquer, et elle se lève et me tend la main. Je lis du dégout dans ses yeux, je la regarde un moment pas de haut en bas, non je la regarde de loin j'observe je ne sais pas trop comment me comporter avec elle, elle est aussi sauvage que moi, elle est aussi imprévisible que moi. Sa cousine ? La cousine de Jared ? ça explique sûrement le faite de pourquoi elle aussi était du genre "mademoiselle imprévisible". Finalement je cherche une réplique je ne veux pas lui serée la main, elle ne m'aime pas & ça se sent. Pourquoi je n'en sais rien & la raison de mon coeur me dit que cette jeune demoiselle sera un sacrée soucis pour notre couple... enfin si Jared tenait encore au nous qui était égale à Jared Von Wodsen + Lily Evri Von Wodsen. Finalement je préfère me la joué franco, tanpis si elle ne trouve plus que je suis une cruche.

Depuis quand sers tu la main des personnes que tu deteste, rien que par leur apparence ? Répliquais-je doucement, sans aucune défiance dans mes yeux, non je constate voila la grande différence. Je te dégoute, pas la peine de te donner le mal de me toucher. C'était dit & ça sans être maché. En tout cas, bonjour Beth

beth beth, j'ai beau me répété le prénom trois milles cinq cent fois, je vous jures qu'il ne remonte pas à ma mémoire, Jared aurait-il oublier de me parler du futur détaille pourrissant ma vie ? Comme si j'en avait pas assez

Désolé je n'ai pas pour habitude d'être hypocrite, mais figure toi que je comptais être gentille envers celle à qui on avait marié Jared... Notez que Beth ne disais pas "celle qu'avait épousé Jared" ou encore "la femme de Jared", non c'était plutot une phrase qui souligner à la blonde que si elle portait le nom Von Wodsen se n'était pas par choix. Beth sourit et passa une main dans ses ongs cheveux bruns, ça au moins c'était la couleur de la grandeur. Ne prend pas mal ce que je t'ai dis. Je suis beaucoup trop brusque parfois !

Je préfère quelqu'un de brusque qui est franche que quelqu'un d'hyprocitre. Répliquais-je doucement, je ne sais pas si on peut s'entendre toutes les deux, je ne sais pas pourquoi mais je le sens, je préfère garder mon intuition pour moi, car si je lui disais tout ça, où si je disais tout ça à Jared, je sens que je me ferais vitre envoyer ballader. Alors je préfère dans ces cas là, rester sur un ton neutre, aussi bien dans ma voix que ses mes répliques, cette fille va me faire voir de toutes les couleurs, je penses, & j'ai interet à creuser mes mininge. je la regarde finalement & sourit. je ne veux pas que tu sois gentille avec moi parce que je suis la femme de Jared, expliquais-je gentillement, je veux que tu sois sympa avec moi pour ce que je suis. Il en sera de même pour moi, je ne serais pas plus gentille avec toi parce que tu es la cousine de Jared, non si tu trouve que je suis sympa avec toi, c'est tout simplement que je t'apprécie. Apprécier, est-ce un mot que cette jeune demoiselle connait ? Je me demande bien, au moins je suis franche, & pas trop méchante, alors finalement je suis un peu fière de ce que je dis. Mais il est vrai que parfois ... mes pensées sont un peu critiqueuse mais bon qu'est ce que vous voulez que je face ? C'est comme ça que je le ressens

Combien même Beth appréciait la franchise et les qualités qu'elle présentait en cette.... Lily.... elle n'arriverait jamais à passer outre la colére, et la répugnance qu'elle lui inspirait. C'était physique aprés tout, on n'y pouvait rien. Enfin Beth acquieça de la tête, ne sachant pas trés bien à qui elle répondait. Bien reprenons sur de bases seine. Je n'ai rien contre toi Lily, c'est ça, ok physiquement je ne suis pas une fana des blonds mais c'est une histoire compliquée... enfin bref... hum... La reine s'embrouillait-elle ? Non certainement pas, parfois il fallait savoir courber un peu le dos ! Et puis là elle était sincére. J'adore Jad'.... Ouille il allait la tuer pour avoir utiliser son surnom, tant pis, aprés tout elle était celle qui avait le plus à lui reprocher. Aussi je me montre un peu brute et méchante avec ses petites amies, c'est par protection.... Jared, besoin de protection ? Oh non c'est un dieu ! Hum Beth, reprend toi.... Je ne te connais que par les lettres que m'envoyait Jad-euh-Jared au début de votre mariage, donc je suis un peu méfiante.

Je la regarde un moment j'écoute attentivement sans la couper, non il fallait toujours laisser parler les gens jusqu'au bout. Jad' ? Ohoh je crois que je vais pouvoir taquiner mon ange avec ce nouveau surnom. Le pauvre, enfin je ferais ça quand on sera de nouveau en bon terme. Finalement je commence à apprécier cette fille, mais dois-je lui avouer que Jared n'a pas franchement de protection. Non elle le sait, & je crois qu'elle n'adore par Jared, mais qu'elle l'aime. Sexuellement où bien moralement, je n'en sais rien, l'amour à tellement de sens. mais je ne préfère pas approffondir mes pensées sur l'amour à ce qu'il parrait cela rend fou. Je la regade et sourit gentillement.
Si je peux évite ta répugnance envers moi au niveau physique, je peux t'avouer alors que je suis rousse, ça pourrat peut être t'aider. Expliquais-je avec un sourire amusée. C'était la 1er fois depuis belle lurette que je disais à quelqu'un que j'étais rousse. & je peux comprendre qu'avec certaine chose de notre passé, nous pouvons avoir du mal avec ces certaines choses du présent. oui je pouvais comprendre, après tout nous avons tous quelque chose qui fait qu'on deteste immédiatement. & je comprend aussi que tu sois méfiante envers moi, après tout , ce mariage à vraiment été fait à la dernière minute. Mais qu'est ce que je bénis ce mariage !

Ah ! Tu ne me rassures pas, tu me soulage ! Répondit Beth en rigolant, un rire sincére, et oui elle pourrait adorait cette Lily, elle était sincére, marrante, gentille mais...si et seulement si, elle concédait à quitter le nom de Von Wodsen ! Non mais ! Ne me prend pas pour une folle anti-blond, mais je ne supporte plus cette couleur ! Elle haussa des épaules et se rassit sur son banc, elle serait beaucoup mieux ainsi, car même assise, Beth gardait de la hauteur et de la grandeur par à rapport à ses interlocuteurs. Il faut dire qu'elle était assez grande pour une fille et que trés peu arrivait à lui tenir tête... NOn, on ne peut pas dire que votre mariage fut planifié ! Enfin... en même temps quand c'est un ordre de la famille, on ne peut pas refuser. Jared a toujours été trés à cheval la dessus, toi aussi je présume, pour continuer à rester marié avec un parfait inconnu....

Je lui souris gentillement, Beth n'a pas l'air si méchante, mais je ne sais pas pourquoi, je ne la sens pas. mais laissons cette apréssion pour plus tard. Elle me parle de moi & Jared, je ne sais pas si je dois lui dire que officiellement tout comme officieusement nous sommes ensemble. En faite je crois que c'est à Jared de dire à sa cousine que nous nous attendons aussi bien qu'un couple qui c'est marié car il le désirait. Même si en se moment nous passons une période de froid. Nous apprennons à nous connaitre, Jared est de jour en jour de moins en moins inconnu. Répondis-je simplement. & plus le temps passe, plus mon sang, ma chair & mon esprit désire d'être à ses côtés, mais ça je le garde pour moi.

Déjà que Beth n'aimait pas les blondes, si en plus elle se montrait maligne... Enfin, il fallait faire avec les moyens du bords, et elle avait désespérement besoin de savoir la vérité, elle savait que Jared ne la lui dirait jamais car le fessait il ferrait une erreur stratégique impardonable...S'il lui disait qu'il entretenait une relation amoureuse avec sa femme, elle ferrait tout pour les séparer, et s'il disait qu'il la détestait et bien.... c'était la même chose ! Il est étonnant non ? Demanda t'elle avec enthousiasme. Mais agaçant également !

Oh mon dieu Jared, arrive s'il te plait je t'en suplie arrive moi. Cette fille essaye de me faire cracher le morceau, mais je ne sais pas quoi dire. Où est tu, je te cherche depuis trois heures & je tombe sur ta cousine, c'est toi que je veux pas elle. Je respire un grand coup mentallement, je noi mon esprit dans de l'air mental, il faut que mon ange arrive, je sens que quelque chose ne cloche pas en elle. Pourquoi ne m'en tu pas parlé avant. Je me retiens de crier devant elle que je t'aime, oui je t'aime, mais ça je peux pas lui dire à ta cousine, à toi je suis bien décider à te le murmurer, le dire , le crier, le hurler, hurler à m'en briser les cordes vocal, oui je veux crier Lily Von Wodsen aime Jared Von Wodsen. Mais je dois retenir mes enives, après tout tu n'es pas là. Je la regade un moment il faut que je calcule chacun de mes mots, des mes phrases, de mes hésitations. Tout dans ce monde est calculer.
je ne dirais pas qu'il est étonnant, mais plutôt imprévisible. Mais au moins je suis sure de pas m'ennuyer avec lui. Je fais une pause, et sourit de plus belle, je suis aussi agacante que lui, ne t'inquiète pas, je serais me défendre.

Je ne réfléchit plus à ce qu'elle dit, je suis rentré dans son jeu, c'est devenu instinctif, comme à chaque fois que je me retrouvais dans une grande famille, mon cerveau prenait la place de l'esprit, il réfléchissait plus vite qu'on ne pourrait croire, les hésitations disparaissent, & font place à la simplicité de mes remarques, c'est ceux en quoi on m'admire dans la haute cours, je suis la meilleure comédienne, celle qui répond par spontanéité. Je m'assoie au sol, elle veut un effet de grandeur, alors je lui le donne, je la flatte, & elle sera moins méfiante, toujours donner au loup ce qu'il veut pour pouvoir l'amadouer. C'est une loi que très peu suivent, à vrai dire je suis la seule à le faire. je penses à Jared, je voudrais qu'il soit là maintenant, mais je dois me montrer digne de lui, oui e suis ça femme, je l'aime & jamais je ne le rendrais ridicule, ni de ridiculiserais son nom, notre nom devant une telle femme.
Je ne sais pas si je veux des enfants, pour le moment je me consacre à mes études & l'entreprise de mon père que j'ai repris, je suis encore que trop jeune pour pensé si je désire où non, l'histoire d'avoir un hérité pour le moment n'est pas vraiment venu sur le tapis pour le moment avec Jared. Je la regarde plongeant mes yeux vert dans les siens, non je ne lacherais pas un mot de ce que tu désires entendre, ça te fait rager ? Tant mieux, je savoure cette rage silencieuse en toi.

Beth exultée, non pas parce que cette fille entrait dans son jeu, non pas parce qu'elle avait trouvé le point faible de cette blonde qui portait le nom de Von Wodsen de maniére imérité, mais parce que tout simplement, oui tout simplement, Jared lui avait dit un jour qu'elle porterait ses enfants, que son sang était le seul qui le méritait, qu'il voulait qu'ils lui ressemblent... Et à elle, il ne lui avait rien dit, il ne l'aimait pas ! IL NE L'AIME PAS ! C'est bien vous avez le temps aprés tout... Je ne suis pas pour la précipitation. Elle souriait Beth, comment ne pas sourire, il n'était pas trop tard, elle avait bien fait de venir, elle allait le récupérer !

Elle était là. Elle, son paradis, sa douceur interdite, sa beauté, la femme de son coeur, de sa vie. Elle était là. Elle, son enfer, son esquis poisons, sa diablesse, la femme de ses vis, de sa vie. Elles étaients là à parler comme deux amies fidéles, elle qu'il aimait, elle qu'il aimerait toujours. Elles étaients si différentes et pourtant tenant l'une et l'autre des partie de son coeur. Beth, sa cousine, sa terrible cousine, si belle, si désirable, si tentante, si.... Lily, sa femme, son incroyable femme, si esquise, si aimé, si détesté aussi.

Il ne savait pas que Bessy serait là, elle ne lui avait même pas dit qu'elle serait à Nogare, quand avait elle eu cette diée saugrenue ? Il ne le savait pas mais en même temps cela fessait tellement longtemps qu'il ne l'avait pas vu.
Il les regardait, un peu en retrait, le regard troublé d'une telle association, une main enfonçé dans la poche de son pantalon de costume marin... Beth tant de promesses, tant de danger aussi. Des souvenirs, des secrets, des nuits surtouts. reine Beth.

Il était là à les épier, n'osant avançer, n'osant affronter leurs regards. Surtout à elle, Lily. Il avait décidé de la laisser courire un peu aprés lui, las de toujours être celui qui rame, mais Beth remettait tout en cause... Et si... Non jamais elle aurait racconté cela à sa femme. Mais pourtant il avait peur oui, peur, Beth le terrifait, elle était tellement imprévisible.

Je sens quelque chose de mal saint, mon cerveau réfléchit à toute allure mais finalement ne trouve aucune de réponse à ce que me disait mon instint, barre toi vite fait & bien fait me souffle une voix. Il me faut une issue de secour & vite, finalement je me lève & regarde doucement Beth.
Tu me caches un truc, quoi j'en sais rien, si je veux le savoir, je sais encore moins, oui je suis une indécise, qui se demande si certaine chose méritait réelement de se savoir, & je le suis depuis que j'ai appris tout ce qui tournais autour de mon sang, autour de Gremort. Mais je sais une chose, tu es contre se mariage & fera tout pour le détruire. Je souris, je ris même finalement, mon rire est cristalin, angélique, à galcer le sang tellement en faite finalement il est froid. Je ne sais pas quelle relations ambigue tu as eu avec Jared, mais attend toi à une chose, si je n'ai pas signer les papier de divorce avec Jared, c'est qu'il y a bien une raison, on ne force surtout pas un Evri à rester avec quelqu'un & encore moins à s'en séparer .

La discution est close, je ne veux pas tourner autour de quelque chose de malsains, je tourne les talon. Je fuie ? Non je me sauve, oui je me sauve de quelque chose qui pourrait me détruire encore un peu plus, j'ai perdu mon père, mais je te jure sale peste, tu ne m'enleverais pas Jared.

Imprévisble blondie, tant mieux s'en était que plus facile. Dans la familleon apprenait que le sang-froid était la clef de tous les succés, Beth n'aurait jamais commit une telle imprudence, Jared non plus d'ailleurs quand elle y pensait. Cette certitude la fit sourire, elle et Jared avait tellement en commun... Elle se leva, jouant l'offusquer d'une telle réaction,elle était terrible ainsi, la mine reveche, les yeux olives lançant des éclairs, sa bouche frémissant presque de colére... Beth, si belle, si terrible. Non mais ça va pas ! La voix était criarde mais tellement sensuel malgré tout, comment lui résister ? Elle semblait deux fois plus grande que Lily, deux fois plus forte aussi. Beth aimait maitriser et elle allait montrer à Lily qu'on ne lui marchait pas sur les pieds de cette maniére. Comment oses tu traiter ma relation d'avec mon cousin, un membre de a famille, le neuveu de ma mére que j'adore comme une relation ambigue.... C'est... c'est tout bonhement malsain et pervers ! Colére, indignation, tout ceci était dosé à la perfection, ah Beth, soit de nos amie, pas de nos ennemie. J'avais raison de me méfier de toi ! Dernier cris, mais dis donc on dirait que des larmes perlent à ses yeux, est la vérité ? Est ce pour toucher Lily ? Ou seulement parce qu'elle venait de remarquer son dieu qui avançait vers elles d'un pas déterminé.

L'éclat. La voix de Beth criant, colérique, indignée, il en tremblait. Il connaissait telleent cette voix et qu'importe sur quoi ou pourquoi elle utilisait cette association qui la rendait à la fois touchante et terrible, il savait qu'elle voulait s'imposait, gagner. Mais le pouvait-elle contre Lily ? Pourquoi feignait-elle ? Pourquoi toute cette comédie ? Car oui, elle jouait, il le savait, il la connaissait tellement bien sa tigresse. Mon dieu, il secoua sa tête brune, avança de sa maniére de félin pacha, une main toujours dans sa pochel'autre se balançant, il fallait qu'il interviene, il ne pouvait pas laisser Beth gagner, non pas cette fois. Même s'il avait l'habitude d'entrer dansles jeux de sa cousine pour la défendre, pour s'amuser (combien de fois n'avaient-ils pas joués !) mais pas cette fois... Cette fois il était question de Lily et il ne voulait pas qu'elle la détruise, pas elle qu'il aimait comme sa propre vie.

On reconnait toujours le cris d'une Von Penzgun en furie !

Lacha t'il avec un sourire ironique, son regard flambant défiant Beth, oui, cousine, attention je te surveille, ne joue pas comme ça. Von Penzgun, je sais que tu détestes ce nom que c'est le mien que tu veux porter...Tu sais que quand je t'appelcomme ça j'assois ma domination, je te montre que tu ne dois rien faire. Ecoute tigresse rentre tes griffes.

Bonjour Madame Von Wodsen.

Il regarda Lily, avec un sourire, ce sourire qui en disait long, mais il ne l'embrassa pas, refusant d'abdiquer aussi facilement, s'il l'appelait ainsi lui donnant son nom c'était surtout pour écarter Beth, si dangereuse. Beth qui maintenant le foudroyer du regard, surment en le maudissant d'avoir ainsi donné le nom qu'elle chérissait tant (et qu'il lui avait souvent promis) à cette blonde (ma blonde, Beth).

Je vois que tu as fais connaissance avec ma cousine. J'espére qu'elle a été gentille !

Je ne vais pas me laisser faire au non! Elle est forte mais j'ai vécut dans avec les bandis j'ai apprit à me battre, me défendre &tuer. Mon regard vert devient un peu noir, au loin un corbeau retentie, & se pose sur l'arbe à cinq mètre de moi. Je sens la colère monté en moi, je ne pleures pas non je suis dans une colère noir, je suis sur le point de me baisser et faire tomber cette garce, mais voila quelque chose me bloque dans ma lancé. Je le regarde, il est là, devant moi, alors que je le cherche depuis quelques temps, il apparait comme miracle devant mes yeux. Mon tourbillon de magie en moi diminue doucement, je ne sais plus quoi dire réelement, je restes bloqué devant sa beauté, devant mon amour qui l'appelle, mais je me reprend. En faite non pas besoins de me reprendre devant Beth tout est une question d'apparence & j'y arrive.

Lacher moi immédiatement Mademoiselle Von Penzgun, vous êtes en Angleterre ici, & je ne crois pas que défier celle qui gère les Evri serait de bonne augure. A moins que vous comptiez nous quittez. Oui car en Angleterre, je suis de la famille la plus puissante pour ne pas dire la plus puissante, j'ai un nom que les riches craint car nous avons une influence hors normes & cette grace à cette même influence que Daniel Thaw n'est plus qu'un élève & non pas un auror. Je regarde Jared, je veux rester froide comme la glace face à Beth, mais lui seul peut lire mon regard, ce regard qui veut dire tu m'as manquer, ce regard que seul jared Von Wodsen peut lire. Monsieur Von Wodsen, répliquais-je retenant un sourire. & bien dois-je vous avouez très cher. Qu'apparement je me suis mal débrouiller avec elle & qu'elle à dut mal avec mon mauvais caractère.

Ah Beth as toujours été un peu comme ça. Pardonnez la chérie, elle est encore jeune dans le monde civilisé. La phrase de Jared n'avait pas l'air méchant, mais le ton condesandant et la maniére dont il parlait de Beth équivalait à un meurtre et une humilation sociale sans précédent. Elle se croit encore en Hollande où il est vraie, que son nom est assez respecté... le assez était aussi cinglant. Jared ne regardait plus Beth, il n'avait d'yeux que pour Lily et la maniére dont elle était en train de vaincre, comme elle lui avait manqué....

Son coeur se fendait à chacune de ses paroles, commet osait-il la rabaisser ainsi devant elle. Pourquoi était-il aussi méchant ? Non ignoble. Beth fermait son esprit, son coeur surtout, elle ne voulait ni en entendre ni en voir davantage, chacuns de ses regards, chacunes de ses paroles étaient comme un dard enfonçé dans sa chaire. Son regard suppliait le sien de le rencontrer, mais il ne la regardait qu'elle, elle, elle. Jared ! Rappel toi, rappel toi Capri, rappel toi cette soirée où tu m'as fait tienne pour la premiére fois, rappel toi tout ces vilains tours que nous fessions, comme nous rions, comme tu m'as embrassé avant qu'on ne t'envoie au mariage avec cette greluche.... Mais Jared refusait d'entendre ses supplications muettes, il la mettait à bas.

Dépitié Beth, gardait le silence. Cherchant un moyen de reverser la situation, de lui montrer comme elle pouvait, elle aussi le toucher, le blesser.... Mais le voulait-elle ?

Pardone moi Jared si j'ai manqué de respect à ton épouse, tu sais que ce n'était pas mon attention.

Voix d'ange, d'enfant calme, demandant pardon, petit sourire.

Mais je n'ai pas pu supporte qu'on s'alisse ainsi nos rapports... Et puis laissé dire de telles choses c'est salir le nom des Von Wodsen.

Je la regarde un moment et je souris, je n'ai rien sous entendu, j'ai dis que leurs relations est ambigues, mais après tout c'est elle qui prend ce mot comme elle le veut, c'est elle qui avoue ses méfaits. C'est elle qui avoue tout ça. Je ne peut m'empecher de rire intérieurement, je ne sais pas ce qui c'est passé entre eux, je parlais d'ambigue, car quelques chose clochait en moi, quelque chose me perturbais, je soupsonnais un truc de louche mais pas à se point. Je la regarde un moment, je ne vais pas me laisser abbatre. Je souris

Je crois quand sans manque de respect, je vais te rappeller la signification du mot ambigue, je réfléchit un moment, je connais se mot par coeur, normal quand quelque chose cloche dans les hautes j'ai tendance à l'utiliser souvent, & sans le savoir chacun avoue ses péchés, tromperie, trahison, secret, & tant d'autre ..., ambigue signifie, Incertain, dont la nature est difficile à cerner. Je souris tranquillement à Beth, & oui tu as avouer toi même d'avoir coucher avec mon mari, mais ça, je ne le dis pas à vois haute, je veux que tu te rendes compte de ta faute. Je ne sousponnais rien, je savais qu'elle me cachait quelque chose, où non plutôt quelqueS choseS avec Jared, mais quite à ce que se soit quelqu'un qui me les disent , autant que se soit Jared. Je plonge mes yeux vert dans ceux de Jared, pardon mon coeur, mais je me laisserais pas faire part cette cruche.