Dîner romantique, or not ? ( Beth )

En réalité, Beth attendait que les deux minutes qu'elle lui avait demandé passent tranquilement. Elle était assise sur le rebord d'une canapé vert défraichis, cela fessait 15 bonnes minutes qu'elle était prête, détestant laisser les choses au hasard surtout quand il s'agissait d'un diner avec un garçon, aussi était ce elle qui aurait passé pour celle qui attend si ell n'avait pas joué cette petite comédie, ok l'importance était infimne, mais Beth avait le soucis des détails.

Elle était donc prête. Ses cheveux bruns étaient coiffés soigneusement dans une courones de tresses et de méches bouclés agrémentés d'une fin serres tête de perles noirs qui s'associaient à merveille à celles qui servaient de bretelles à sa robe de satin rouge. Une robe audacieuse et a priori bien sage quand on la regardait de face, puisqu'arrivant légerment au dessous du genoux de la jeune fille, et dépourvu de décolté mais au combien provocant et sexy quand on voyait Beth de dos. En effet la robe offrait un dos nus vertiginieux ne cachant aucun centimétre de peau de son dos légerment mate et sublimé par les bretelles perles qui suivaient les courbes du dos jusqu'au bout de tissus qui reprenait au niveau des reins.

Quand sa montre en or et argent afficha la fin des deux minutes demandé, elle se mit debout sur ses chaussures noirs et rubans, attrapa sa pochette or et noir et sortit d'une démarche ma foie fort gracieuse.

Bonsoir.

Elle décrocha un sourire à Will et se permit d'admirer sa classe conservée dansune tenue somme toute simple mais efficase. Elle ne lui fit aucun compliment, mais son regard était appréciateur à l'image de son sourire chaud.

L'art et la maniére de parler aux femmes. Répondit-elle en souriant avant de faire une geste de la main à sa derniére remarque. Tu a bien fais, j'y suis allérgique. Et ce n'était pas une blague, d'ailleurs ce fait fessait pour Beth du printemps la pire des saisons. Alors où comptez vous m'enmener Monsieur Martin ? Je compte sur vous pour me faire rêver.

Celle sur le corps.... Répondit-elle simplement comme si cet avoeux était le plus naturel du monde, d'ailleurs le sourire qui accompagné cette déclaration était sans équivoque. Beth n'allait pas se le cacher, Will était un garçon tout à fait à son gout, et elle avait faim...

*Aprés le diner Beth *

Voila la promesse qu'elle se fessait en silence puis alors que l'expression de son visage changeait pour redevenir celle limpide d'une petite fille bien élevé de la haute, elle déclara.

Français.

Pour elle c'était la seule cuisine qui existait réellement.

Mais Will tu apprendras que je pése toujours mes mots ! Répondit elle avec un sourire malicieux, attirant. Oui attention Monsieur Martin, vous avez réveiller en Beth ses instincts de tigresses. Ah je sens que je vais aimer... Répondit-elle simplemet en ce qui concernait le restaurant, qui était du coup beaucoup moins interresant à commenter qu'a provoquer Will dans ses retranchements.

Oui allons-y ! Répondit Beth en passant devant lui pour descendre les escaliers du dortoir de Gremort, pas parce qu'elle était préssée, mais bien parce qu'elle tenait à ce Will profite du magnifique verso de sa robe ! Quand ils arrivérent au bas, elle se mit à ses vôtés pour marcher en direction de la sortie. J'espére alors qu'ils ont de bons Bordeaux ! Elle rigola

[Je vais manger à plus !!]

Je sais, j'ai souvent voyagé en France... Répondit Beth avec un sourire. Ce n'était pas pour étaler le nombre de ses voyages ou encore pour se vanter, c'était juste pour parler.

Je ne sais pas... Beth n'avait pas pour habitude de dire si un pays ou un lieu lui plaisait, pour elle ce n'était qu'un décor, certes tout à fait laisant et fascinant pour certains mais en sommes bien peu intéressant quand on comprenait que le décor était secondaire et que seuls les acteurs étaient importants. C'est charmant, mais pour être franche je ne peux te dire rien de plus, j'accorde plus d'importance aux sentiments que j'éprouve, aux gens que je rencontre et l'impression qu'ils me donnent qu'au lieu en soit ou pays dans ce cas-ci. Elle sourit. Ils marchaient côtes à côtes, noirs dans la nuit solitaires. Et toi, la France ?

Le vertige ! Il y a des villes comme Paris, où tu peux être n'importe qui, passer inaperçu, ou de montrer, faire la fête dans un coin branché ou boire un petit café. Beth s'animait, elle adorait qu'on l'interroge sur ses impressions, son ressentit, peu de gens le fessait car au final peu de gens se souciaient d'elle, mais qu'est ce que ne perdait pas ces gens ? Un sourire ravis, illuminant un visage épanouis, des yeux olives brillant et pétillant, une voix douce et suave, une esquisse de paradis en sommes. Il y a des coin où les montagnes sont immence, le vent glaçé, l'air pure, l'esprit se libére et tu as l'impression de voler avec les aigles, à d'autres endroits, la mer rejoint le ciel et le son des vagues berçent ton coeur, lui promettait à la fois d la tranquilité, du repos mais aussi l'aventure, la vie, l'amour de la vie. Et puis il y a ces vastes campagnes, vertes, ces gens charmants, et acceuilants mai aussi rêvechent, jaloux de leurs bonheur, de leurs vies....Elle s'arrêta reprenant son souffle et tournant son visage en direction de celui de Will, son sourire était indescriptible. Voila.

Des tas d'endroit, je me suis accordée un petit tour du monde pendant un an ! Répondit Beth avec un sourire. Déjà le sentier s'élgargissait, et les lumiéres du village apparaissait, ils n'étaient apparement pas trés loin du village. Et toi ? Tu as voyagé je suppose ?

Pas total... Préféra préciser Beth qui aimait toujours la sincérité, même pour des détails insignifiants. Je n'ai pas eu le temps, de tout voir... Il doit me rester une bonne centaines de pays. Elle sourit à Will. Alors et quel est ton pays préfére, celui dont tu gardes le meilleur souvenir ?

Hum, quel coin ? Interrogea Beth vivement, elle adorait parler des expériences du passé, pour elle s'était lui qui contruisait l'avenir et elle en avait en grand respect. Tu n'es pas obligé d'en parler, on peux changer de sujet... Fit-elle en rigolant. Ou se taire... Si tu préféres, le restaurant n'est pas loin maintenant , nON ?

Et cela a marché ? Tu es exepte de péchés ? Demanda t'elle en rigolant, quand elle y pensait les gens étaient bête de vouloir se débarrasser, e purifer de leurs péchés, cela rendait tellement la vie interressante, toute ses petites imperfection de l'être humain. Elle même se souvenait trés bien du tibet et particuliérement de ce petit chalet qu'elle avait loué prés du mont Kailash...cela ne l'avait pas purifier des péchés, seulement initer aux drogues asiatiques.