La plus belles des roses les découvrent...

Caroline avait fait une longue promenade solitaire dans les jardins de Nogare, elle avait jettée un coup d'oeil à tout et sur tous, et franchement elle hésitait entre prendre ses jambes à son cou et rigoler mais elle n'était pas là pour se faire des amis alors...autant rester. Elle soupira et se laissa tomber sur un banc face à de magnifiques roses de toutes les couleurs.

Hilly revenait de la bibliothèque des livres pleins le sac qu'elle portait.
Elle recherchait quelque sort à utiliser contre Léo et les autres pour sa 'vengeance'.
Elle se dirigeait vers son banc habituel quand elle vit une fille qu'elle n'avait jamais rencontré jusqu'a ce jour.
Elle alla s'asseoir sur son banc préféré à côté d'elle.
Et lui fit un "Salut" simple.

Caroline, la regarda s'assoire, la fusillant presque du regard pour s'assoire ainsi prés d'elle, quoi il y avait des dizaines de bancs dans cette école, pourquoi cette jolie blonde à l'air si hargneux venait s'assoire prés d'elle.... Caroline, ne fit pas plus attention à elle, elle ne comptait pas gacher sa précieuse voix pour cette fille.

T'es nouvelle? Fit-elle brutalement.

Malheureusement...

Répondit Caroline,toujours pas décider à parler avec cette fille.

Tu veux pas parler? Ok c'est pas mon problème si tu veux rester seule, mais c'est ici que je viens tout le temps et je n'ai pas decidé de bouger rien que pour toi fit-elle avant d'ouvrir l'un de ses livres.

Tu peut rester fillette, du moment que tu me parle plus de cette maniére et que tu ne l'ouvre plus.

Répondit Caroline, qui n'aimait surtout pas qu'on lui parle comme sa.

Je suis pas dans cette école pour foudre le bordels mais il ne faut pas me chauffer.

Te chauffer? Te chauffer? Repeta t-elle l'air choquée.

Nan mais attends il faut arreter ma belle, tu as étais très peut 'chaleureuse' alors je te renvois la monnaie de ta pièce!
On t'as pas appris la politesse chez toi?

Et puis sur un ton de defis, à mis voix elle fit:

Ne-m'appelle-plus-JA-MAIS-fillette!

Chez moi vois tu on m'a appris à ne parler à des sousfifre....et surtout quand ces derniers n'ont pas le controle de leurs humeurs...

Ajouta t'elle avec un sourire méprisant.

Pourquoi? Fillette sa te va bien, il n'y a que les fillettes qui s'emportent aussi facilement et qui deviennent aussi rouge. Attention sa jure affreusement avec ton teint vermeille.

Tu es vraiment très pretentieuse fit-elle en reprennant son calme et lisant ses livres.

Je m'enmporte certes, mais c'est comme si tu l'avais cherché, après tout si tu savais dire bonjours des choses aussi simple au lieu de jouer la nouvelle peste de Nogare il n'y aurai pas eu ce genre de conflit.

Prétencieuse, mouais peut-être mais c'est parce que je suis supérieure, alors au tant s'en vanter...

Se sourit à elle même.

Et puis niveau peste je pense que t'es pas mal dans ton genre....je suis même certaine que c'est toi la peste de cette école, celle que tout le monde déteste et qui n'a comme amis que des gens prétencieux, vaniteux et sur d'eux....

Tu ne connais rien de moi, alors ne vas pas te faire des idées sur qui et comment je suis.

Toi superieure? Ah vraiment qu'elle modestie fit-elle en eclatant de rire.
Il n'ya que les gens qui le disent qui ne le sont pas.
On dirai une petite fille qui s'invente une personnalitée ou je ne sais quoi.

Caroline sourit tranquilement, regardant ses longues jambes mates tendus devant elle.

J'ai touché le point sensible on dirait.

La regarde du coin de l'oeil.

Je suis supérieure, je n'ai pas peur de ce que je suis vraiment, de le dire, de le montrer. Toi tu te cache encore derriére une apparence fictive d'ange torturée. Moi j'ai dépassé ce stade de poupée, je veux, je prend, je hais, je me casse, j'aime je reste, je jout, je feinte et pour finir je blesse....c'est sa la supériorité, c'est le pouvoir, celui de se connaitre et de savoir qui on est vraiment.

Et bien je me souhaite vraiment de ne jamais connaitre ça.
D'être comme toi...c'est si ....detestable.

Tu rigole c'est jouisif, imagine toi, toute puissante, désirable, désirée, mais forte....si jamais tu n'arrives qu'a un centiéme de ce que je suis un jour petite blondinette sans prétention, tu seras peut-être quelqu'un.

Mais j'ai pas envie d'être comme toi.
Je m'aime comme je suis et tant pis pour toi si tu ne m'apprecies pas! Je ne t'ai rien demandé après tout.

Je sais pas j'ai cru entendre dans ta voix l'ombre d'une jalousie....

Sourit, elle était vraiment sublime, elle avait un sourire surnaturel.

Mais j'ai du me tromper. Il faut une premiére à tout à ce que l'on dit.

Elle eclata de rire!

Je sais pas si c'est voulus mais t'es plutôt drôle.

"Oh mince tu pourrais briser ton image de mechante fille" fit-elle d'une voix aigu.

Et toi tu peux paraitre plutot intelligente quand tu le veux...mais je pense que ce n'est pas voulue.

C'est vrai, ça n'est pas voulue. C'est naturel.

Ah je me disais aussi, une intelligence de caniche.

Répondit avec mordant Caroline, toujours en vixant les roses et presque naturellement.

Si ça t'amuses de jouer à ce genre de jeux alors...amuse toi toute seule, j'ai passé l'âge fit-elle en retournant à ses livres.

Humph t'es pas marrante...

Fit en soupirant Caroline.

Tu manque de mordant...qu'est ce que tu lis?

Je manque de mordant?

Mouais peut-être.

Je lis quelque chose, pour apprendre à jeter quelques sortilèges hummm speciaux.

Des sortiléges nocifs c'est sa?

Demanda Caroline de plus en plus interressée.