Respirer ou Etouffer (Daniel ?!)

Helena avait quitté la grande salle, ses pieds la menaient sans qu'elle ne sache réellement où, son esprit était vide, seulement occupé par des souvenirs du passé dans lesquels elle se rapellait les journées qu'elle avait passé avec Emma et Léo. Chacun d'eux avait contribué à la construire.

Léo, avait fait d'elle une presque femme, il lui avait apprit les joies et les peines des sentiments, le bonheur d'être deux, la peur d'être seule, la haine aussi, et puis il était resté malgré tout dans son coeur. Oui même malgré Dan, Léo restait là, parce qu'il avait été le premier à qui elle avait dit je t'aime, parce qu'il était celui avec qui elle s'était immaginé mariée, parce que c'était lui, celui qu'on qualifié de Don Juan, avec emphase et peut-être un peu de mystisime, alors qu'il aimait simplement la vie et ses plaisirs....

Emma, l'avait libérée, tout d'abord du carcan optu que formait son esprit de petite intello, elle lui avait montré que toute les blondes à l'uniforme superficiel ne l'était pas forcement, qu'elles avaient un caractére, que les femmes pouvaient surpasser les hommes, qu'elles n'étaient pas obliger d'être jolies pour réussir... Puis elle l'avait guidé, pas toujours dans le bon sens du thermes, puisqu'elle lui avait souvent apprit à sortir du droit chemin pour réellement vivre, mais surment sans Emma, jamais Helena ne serait resté à Nogare. Si Jade était sa soeur de coeur, Emma représentait le model de la femme parfaite selon Helena, et cette simple amie était comme devenu une héroine.

Les larmes coulaient enfin des yeux bleu noyés d'Helena. Jusqu'a présent elle n'avait pas pleuré, restant surtout sous le choc mais à mesure que les souvenirs défilaient, elle ne pouvait plus contenir le choc de la tristesse, d'ailleurs elle du s'arrêter de marcher et prendre appuie sur le mur prés du placard à balai pour reussir à respirer de nouveau, étouffant sous le poid du chagrin et de l'amertume.

[je te répond .... dès que j'aurais retrouver ne serait ce que ... 1/3 de mes esprit xD ! ]

[LOl à ce point ?! ]

(j'ai pas put ... je me suis juste dépensé comme une malade ... oubliant que bah sa fait pas mal de temps que j'ai pas dormit correctemetn sa fait un choc xD ]

Ma cure, où plutôt ma guérison fut longue & douloureuse. Bien entendu le docteur Nast fut tout le long à mes côtés, il disait que c'était simplement pour voir si j'étais toujours en vie ... afin que Lily ne le tue pas par la suite. Si vous voulez mon avie, c'est tout simplement parce qu'il avait apprit à s'attacher à Lily, & moi. Il avait perdu sa femme, sa famille, mais en s'occupant de Lily, il avait trouver une nouvelle famille, la famille Evri, composé de Sebastient, Nina, Thibault , Angélina & Lily, ainsi que moi finalement. Bref, passons sur la famille, moi j'ai la mienne mon père, & pourtant malgrés tous ce bonheur qui m'entour, il y avait toujours ce vide là, dans la poitrine. "Je t'aime aussi Helena, je n'aime que toi, mais voila tu crois que pendant un soir, il y a eu une autre personne dans ma vie, tu crois que j'ai oser te tromper, tu as même oser me comparer à Léo" Comme j'avais été cruel en disant de tels paroles, mais je ne regrettait pas. C'était pour lui faire comprendre. Mes valises à la main, j'entend dans un placard non loins des pleures. Je laisse ma valise dans le couloir et toc donc contre la porte.

Y à quelqu'un , demandais-je inquiet avec ma voix de tenor

Finalement Helena avait finit par se réfugier dans le placard à balai, si au début c'était juste le temps de reprendre ses esprits, cela fessait maintenant une demi-heure que la jeune fille pleurait de tout son soûl. Pour elle, ils étaient morts et jamais plus elle ne reverrait ses amis auquel elle tenait tant. Par ailleurs outre le chagrin de cette perte, elle réveillait également une autre douleur, celle de la peur de la mort qui la tenaillait depuis la mort de sa mére, assassinée par son pére. Personne n'avait su l'histoire, jusqu'a ce qu'un soir l'homme disparaisse, laissant à Helena le soin de placer ses fréres et soeurs mineurs auprés de leurs tantes Elizabeth, personne... Et maintenant qu'elle se trouvait dans le noir, les jambes ramenées contre la poitrine, hoquetant et devenant à moitié folle, tous les démons qui l'entouraient prenaient vie autour d'elle.

Quand elle entendit distinctement la voix de Daniel, elle cru tout d'abord rêver, aussi ne répondit-elle pas tout de suite, mais quand elle constata qu'il était derriére la porte sans savoir que c'était elle, sans savoir la vérité, elle tenta de sécher ses larmes et parvint à ouvrir la porte.

Il n'avait pas changé. En d'autre temps elle se serait pendu à son cou en lui jetant des mots d'amour, mais la seul chose qu'elle pouvait faire c'était contenir ses larmes qui creusaient ses joues rouges et calmer sa respiration.

Les pleures cessent, la jeune fille, si je suppose bien, essaye de se calmer, étrangement, je suis persuader de savoir qui est derrière cette porte, mais j'espère que je me trompe. Car je n'aime pas la voir pleurer. Mais pourtant j'ai la confirmation quand je vois la porte qui s'ouvre timidement. Ses yeux si beau, sont explosées par le rouge, ses joues ses marquées par les larmes, & pourtant elle se retient de continuer à pleurer, et elle essaye de ce calmer. Je m'approche d'elle et lui tend les bras, pour qu'elle puisse venir vers moi, afin que je l'enlace. Oui j'avais horreur de la voir comme ça, je n'aimais pas voir son visage d'habitude si joyeux, remplie d'une tristesse qui m'était inconnue !

Elle se blottis dans mes bras, et je refermer mon entreinte, comme si dans les bras, je la protegais de tout le mal. Mes bras, son une coquille, où jamais le mal viendra la perturber, je serais là pour la consoler, la soigner & surtout l'aimer. je ne veux même pas me disputer sur le sujet de la dernière fois, je veux son sourire, car je sais qu'elle pleure pour une raison qui met inconnu, & je dois être là pour la rattrapper, ne serait-ce qu'un peu, je ne veux pas voir mon plus belle ange s'éffondrer, elle est tout pour moi, sans elle je suis un homme sans vie.

Là mon ange, je suis là! Lui murmurais-je dans ses merveilleux cheveux blond, où je reconnu la main expèrete de Lily qui était passé par là.

Oh Daniel. Je n'en peux plus. Pourquoi les gens que j'aime partent toujours ? Helena était anéantit par le chagrin, et comme toujours elle cherchait des réponses, elle espérait honnetement ne pas être maudite, à chaque fois qu'elle s'attachait à quelqu'un il finissait par disparaitre.

Je reste muet un long moment, je ne vois pas de qui elle parle, je ne sais pas c'est quoi le sujet. Mais apparement, la mort est reine dans ses mots. Je frissonne au niveau du dos, mais fait comme si de rien n'était. Je la regarde tendrement, et lui caresse doucement les cheveux blond afin de la rassurer tranquillement. Peut être, parce que les gens auquel tu t'attaches sont d'une forte personalitée, & que au final, en cherchant embrouille partout, il finissent par disparaitre. Ce n'est pas de ta faute mon ange, toi dans tout ça tu n'y ait pour rien.

C'est pas cela Daniel... Helena reprenait petit à petit pied dans la réalité, comme toujours quand il était là. Il était sa raison, sa lumiére, son yang, pourquoi ? Parce que tout simplement leur coeur battaient à l'unisson. C'est... tellement pire... Will... Léo et Emma... Elle chevrotait en prononçant leur prénoms et quand elle allait finir son énumération, elle se rendit compte qu'a l'image de Léo pour elle, Emma avait été le grand amour de Daniel, et qu'a l'instar d'Emma pour elle, Léo avait été un trés grand amis pour lui. Alors elle hésitait sur la maniére de le lui annoncer. Ils ont disparus... Elle ne pouvait se résoudre à dire mort.

Je la regarde, et mon attention devient hautement intensive, quand j'entend le nom de ces trois personne, quoi que Will je ne l'aime pas du tout, je m'inquiète quand même. & quand j'apprend la nouvelle, je reste paralisé, j'ai du mal à comprendre, & enrengistrer la nouvelle. Quoi eux disparut ? Je crois que je n'arrive pas à le croire. Je sers Helena doucement. Pour le momet, seul le silence vient à mon esprit, je suis pas hapte à dire quoi que se soit. C'est le blanc dans ma tête, & pourtant , c'est bien rare