Il ne manque plus que la Tour Eiffel (LIL)

* J'ai toujours aimé les entrées fracansantes. On ne se souviens que trés rarement du petit commis qui rentre par la porte dérobée, par contre l'actrice qui arrive, boulversant une scéne, animant un acte, transportant le coeur des spectateurs, à tous les honneurs. Je les vois, ainsi l'un en face de l'autre, se dévorant des yeux, ne prenant même pas la peine de se cacher, un amour hideux, arrangé... le pire reste tout de même ce regard amoureux qu'l lui lance alors qu'il saisit doucemnt sa main pour la presser contre ses lévres, j'en ai la nausé. Il m'avait toujours promis de m'aimer, moi, celle qu'il avait fait femme, pas une blondasse... Jamais il ne se laisserait acheter, voila ce qu'il me répétait sans cesse, jamais acheter, jamais vendre, il se comparait à un branby sauvage, amoureux de sa liberté et de sa vie déréglée, et le voila qu'il se pavanait au bras d'une femme ceintré dans une robe d'un banale ennuyeux. Trop pale, trop fade, trop simple. Alors que lui est il était dangereux, fort, intrépide. Jared, mon amour.*

Beth avançait de sa démarche chaloupée, elle avait suffisement observé le couple, manquant plusieurs fois de mourire d'ennuie ou de dégout, mais enfin elle pouvait faire son entrée, elle avait attendu que leur serveur ne parte avec leurs commandes. Elle avançait vers eux, sublime dans sa robe grise à paillette lune, lui arrivant jusqu'aux chevilles qu'elle avait emprissoné dans de simple chaussures à lacets noirs, fendu jusqu'a mi-cuisse elle laissait entrevoir une peau velouté légerment caché par des bas couleurs chairs, elle portait un manteau noir et tenait dans sa main une longue enveloppe craft marron, elle souriat tranquilement.

*Le plus important n'était pas de frapper, le plus important était d'anéantir, de détruire, quand on ne pouvait pas récupérer une personne, il fallait tout simplement lui faire autant de mal que possible. Désolé mon amour, ce n'est pas toi forcement que je vise, mais c'est elle, je veux la détruire, lui montrer qu'elle ne sera jamais que la deuxiéme. J'étais là avant.*

Jared releva les yeux vers elle, coupant brusquement la conversation,Beth laissason sourire s'agrandir, avant de prendre une chaise à une table voisine, et de la tirer jusqu'a leur table.

Bonsoir.

Parfois les choses sont réelement le paradi. Etre à ses côtés, c'était le paradi. Je sais, je reviens d'une certaine mort, mais temps qu'il est là, à mes côtés, je ne peux plus retomber, j'en suis certaine. Après tout c'est avec lui, à mes côtés, que je me suis remise de l'attaque de Moon, avec lui que j'ai chercher Depp, avec lui que je vie depuis que nous sommes marier. Toutes ses questions sans réponses qu'on ce pause sans cesse, les premierès je m'en souviens parfaitement, ce sont faite dans ma chambre, Asthon, mon ami, qui allait devenir mon petit ami était là, nous nous sommes prit dans une dispute violente, & sans pouvoir controler quoi que se soit, j'ai tout fais pour qu'il reste, il est rester, & les questions sont sortie "Alors, dit moi pourquoi, ce jour là, j'ai dis oui ? Pourquoi je suis là, avec toi et que j'ai pas retenu Asthon ? Pourquoi quand je te vois, pour moi, il n'y plus aucun interet ? Pourquoi, ai-je accepter malgrés moi, le nom Von Wodsen sachant qu'un jour où l'autre je devrais tout quitter ici pour aller à Paris avec toi ? "Oui pourquoi ? A cette époque, la réponse était loin de mon coeur, loin de mon esprit. Pourquoi j'ai dis oui ? Car j'ai eu le coup de foudre, parce que mon coeur à cesser de battre, je suis morte, pour revenir à la vie, pour toi.Pourquoi je suis là, avec toi et que j'ai pas retenu Asthon ? Tout simplement, parce qu'Asthon est un ami, tu es mon amour, plus puissant que ce que j'ai ressentit envers Andréas, un amour tellement puissant, que en faite, cela devrait en être interdit.Pourquoi quand je te vois, pour moi, il n'y plus aucun interet ? Pourquoi, ai-je accepter malgrés moi, le nom Von Wodsen sachant qu'un jour où l'autre je devrais tout quitter ici pour aller à Paris avec toi ? Pourquoi ? Tout simplement, parce qu'avec toi, mon monde n'est plus. Alors oui, je suis capable de te suivre.

Mais je le sais, tout Paradi, à son petit grain d'enfer. Tout paradi, à sa poussière pour gacher les choses. Ce grain de poussière, n'est que Beth Von Penzgun. Elle me hait, mais moi je ne la hais pas, non se serait la placer trop haut dans mon estime pour elle. Elle avance, dans une de ses robes qui courtent forturne, je sais que quoi que je fasse, jamais ma tenu lui plaira. Mais moi, je sais reconnaitre, que la sienne à du gout ... sans les paillettes, nous sommes dans un restaurant pas dans un bal, & c'est mal vu en Angleterre. Mais je n'en fait rien. Je la regarde prendre une chose tranquillement, mon regard n'exprime pas la même colère qu'elle au fond de ses yeux.

Bonsoir, dis-je d'un ton calme, et pausé.

*Les doutes s'étaient envolés, je regardais dans ces yeux vert/bleu que j'adorais tant et je me sentais vivant, à nouveau, elle, son sourire, sa peau, sa bouche, nous ne formions qu'un... j'avais eu des doutes, mais les questions avaient disparus, remplacées par la certitude que quoiqu'il puisse se passer, elle serait là, tout comme je serais là. Je n'avais jamais autant ressentit le besoin impérieux de prendre quelqu'un dans mes bras de cette maniére, de la sentir contre moi, de la voir sourire, de voir ses yeux s'assombrirent ou s'éclaircirent, je me savais amoureux, même si je voulais le cacher mais pas autant, pas au point de vouloir chaque seconde d'elle.

Et quand j'avais voulus lui dire, que plus jamais je neréagirais de la sorte parce que plus jamais je ne voulais souffrir comme j'avais souffert et la voir elle en patir, mon enfer était apparu. Beth,je croyais l'avoir relégué au second plan, j'avais de toute évidence tord, et même si j'aimais Lily, ce dont elle ne doutait pas, elle n'accepterait jamais de perdre, elle était une Von Wodsen en partie, j'adorais cela chez elle, cette force de caractére quasi machiavélique, même si là, cela se retournait peut-être contre moi*

Bonsoir, petite cousine.

Le ton de Jared pouvait passer pour affectuer à une personne extérieure, mais ceux qui le connaissait ne serait pas duppe, d'ailleurs son regard c'était durci d'un vert profondement noir, il jeta un regard désolé à sa femme, puis reporta son attention sur l'esquise et dangereuse créature qu'il avait aimé.

Que nous vaut le plaisir de ta visite ?

*Ne me regarde pas avec ces yeux là, je fond, ah Jared tu crois réellement pouvoir m'impressionner pas un egard noir et un ton faussement affectueux ? Ne sais tu pas que j'ai appris du meilleur ? Que jamais je ne me laisserai marcher sur les pieds, même si c'est toi.*

Beth souriant, déposant sa pochette noir et son enveloppe craft sur la table, elle gardait cependant les main dessus, comme si elle renfermait un trésor rare, tandis qu'elle regardait Lily avec un sourire de joie, que savourait-elle ?

C'est bientot les vacances de Noel... Lily, Jared t'as t'il dit que nous fêtions toujours les vancances en famille à Chateau-Renard en France, tu es la bienvenue bien sur.

Beth prenait même le soin de souligner son accent français, elle jouait et savourait, le chat avait sa petite souris sous la patte et elle ne comptait pas la lacher de si tot.

Selon la tradition, on doit offrir un cadeau fait main ou particuliér à chacun des membres...

Beth s'arrêta et regarda son cousin avec malice et délice, comme si elle voulait le manger tout cru.

Or comme je n'y serais pas, mais que je tiens tout de même à vous faire un cadeau, je suis ici... On commence par le tient Jared ou celui de Lily ?

Je regarde tranquillement Jared, lui lance, un regard rassurant, je ne comptais pas me faire manger par la chatte Beth. Elle me croit sourit, je suis corbeau, un oiseau bien intéligent, l'oiseau de la mort. Je suis gremort en quelque sorte non ? Un sourire naquit discrètement sur mes lèvres à se moment, étrangement, je m'en fichais de beth, j'écoutais bien entendu ce qu'elle disait. Très attentivement. Je regarde sans plus la pochette papier craft. Je savais que Jared passait noel en France, il me l'avait dit, après que se soit dans ce chateau là, cela ne m'étonne pas. Je regarde Beth tranquillement, des cadeaux de noel ? Hum serait-ce empoisonné ? Je souris tranquillement à Beth. Je comprend que maintenant le cadeau qui m'attend sera sûrement une humilliation, mais étrangement cela ne me fait pas peur. Les pires humilliations, je les aient reçut avec les bandis, & rare étaient ceux qui pouvaient supporter ça. & si elle faisait quelque chose de mal à mon insu, les autres familles d'angleterre pourrait prendre ça très mal, & mademoiselle Beth pourrait être chassé du térritoire. Attention petit chat, je plane au dessus de toi, tu crois chasser la bonne sourie, mais tu te trompe, je suis corbeau.

C'est tellement intentionné de ta part Beth, fis-je d'un ton calme, & bien Beth, choisit c'est toi qui offre, je ne vais donc pas imposer ton choix.

Bien. Ou alors on peut tout simplement les donner ensemble, la suprise ne sera que plus grande non ?

Le sourire de Beth était éclatant, elle n'avait jamais du sourire autant cela la rendait aussi belle que dangereuse, une plante vénimeuse, Jared la regardait, elle pouvait clairement immaginer ce qu'il s passait dans sa tête, il la connaissait tellement bien qu'il devait sentir le piége se refermer sur lui, et quel piége....Elle, elle se sentait sereine, des images lui revenait en mémoire, c'était il y a 6 mois maintenants

Flash back.

La France était douce, l'été s'achevait tranquilement, le soleil déclinait dans le ciel, et ils étaient là sur le ban en bois rouge face au lac. Elle avait sa tête posé sur son épaule, geste rassurant, tendre, elle voulait lu dire quelque chose mais elle ne trouvat pas les mots, pour la premiére fois elle ne savait pas comment lui dire quelque chose, à lui en qui pourtant elle avait toute confiance...

Jared...

La voix était tremblante, pourtant d'habitude elle ne tremblait jamais,elle se souvint clairement avoir légerment frissoner à la suite d'une ptite brise qui avait caressé ses épaules nues découverte par sa petite robe d'été blanche, il l'avait fait taire d'un baisser,ne la laissant pas continuer, pourtant elle devait le lui dire, elle avait tellement peur qu'il ne sache pas...

J'ai quelque chose à te dire amour.

Elle adorait la maniére dont il l'appelait alors, c'était doux, passionné, à l'image de leurs relation cachée qui durait depuis prés de 5 mois, elle et lui se n'avait pas été que du sexe, cela avait été tellement plus, un début d'amour pour lui, une adoration pour elle. Beth avait alors acquieçé attendant qu'il parle, comme toujours elle le laissait faire mue dans une admiration presque enfantine, malgré ses 16 ans florissants.
Puis il avait parlé, lui expliquant qu'on le marier à un grand nom français, que les affaires familiales n'allaient pas bien, qu'ils avaient tous besoin qu'il agisse conformement au choix de ses parents, qu'il partait alors demain sur Paris pour se marier, que jamais peut-être il ne la reverrait, mais qu'il l'aimerait toujours.
Elle avait fondu en larmes bien sur, comment faire autrement, puis il l'avait serré contre lui et elle n'avait pas trouver le courage de lui dire ce qu'elle avait sur le coeur, il était partit et elle n'avait rien dit.

Fin du flash back.

Beth ne trembla pas cette fois, elle ouvrit sa petite pochette, en sortit une envelope plus petite que celle marron et la glissa face à Lily, avant de glisser la marron en face de Jared.

Joyeu Noel.

* Je tremble, oui je l'avoue, même si extérieurement cela ne se voit pas, je connais ce regard chez elle, c'était le même qu'elle avait quand on avait détruite Melly Hoppes, un américain, qui avait osé lui piquer son premier petit ami, je savais aussi que Lily n'aurait pas du entrer dans son jeu, qu'on aurait du partir tant qu'il en était temps,mais malhereusement la bombe allait surment tomber*

Jared prit l'enveloppe dans ses mains, il n'osait pas l'ouvrir, la peur était laplus forte pour la premiére fois, même si son ton restait calme, dure, égal à lui même.

Merci Beth, nous sommes désolé de n'avoir rien à t'offrir en retour.

*Je n'ouvres pas l'enveloppe, j'attend. Puis finalement me décide. Le papier n'est pas scellé, je n'ai qu'a passer un doigt, ce que je fais. A l'interieur il semble que ce ne soit que des clichés, des radios peut-être, le papier est semblable à celui des hopitaux, se pouvait-il que cette fois-ci la diablesse joue franc jeu ?*

Jared levé les yeux vers Beth, puis sur Lily et sors es clichés de l'enveloppe, les mettant à la lumiére pour les observer. Son coeur fit un raté, il ne pouvait pas croire ce qu'il voyait, il y avait une date, un nom et ces photos.

La date indiquait le 12 novembre 2008, le nom était celui de Betty Joy Von Penzgun, les clichés, celle d'un foetus gros de 4 mois, un garçon.

*Je regarde le clichés de mon enfant 'exposer à la lumiére, je souris, mon fils, née il y a maintenant 3 mois. Je n'avais jamais réellement fait de voyage au tour du monde, la famille avait caché ma grossese, sachant qui était le pére, j'avais passé 5 mois dans un monastére au vietnam, c'était la bas qu'était née Joshua Von Wodsen, héritier de l'empire Von Wodsen, la fierté de son grand-pére, le fils inconnu de son fils chéri... Ma présence à Nogare ? Tout simplement rapporter la lettre qui se tenait devant Lily Evri...*

Dans tout mariage arrangé il y a des clauses, or si la fortune, l'honneur sont important pour les deu parties, l'héritage l'est tout autant et la naissance d'un héritier scelle définitivement l'affaire, or l'héritier était arrivé mais d'une autre personne.... Le jeu des avocats avaient été trés long, mais finalement l'acte d'annulation était là.
Pourquoi Beth n'avait-elle pas utiliser son arme avant ? Par vanité tout simplement, espérant encore que Jared ne lui revienne que pour elle, non parce que son mariage était officielement enterré, et que la famille possédait un héritier.

Jared regarde dans l'enveloppe tu as encore d'autres photos ainsi que l'acte de naissance...

Sa voix était calme triomphante, elle venait d'assemer un sacré coup et enore Lily n'avait pas ouvert cette lettre, en même temps il semblait que la blonde avait vu un mort.

Tu es toute pâle Lily, est ce qu sa va ?

Je n'étais pas pâle, la pauvre se faisait des idées. J'ai comprit le jeux de Beth, & maintenant, je suis sure de savoir ce qu'il se trouve dans mon envellope, je n'en doute pas, j'en suis certaine. Cela me fait aussi mal de savoir ce qu'il y a dans mon envellope, tout comme le faite de savoir que Beth à donné la vie. Je n'étais pas en colère, j'étais touchée d'une profonde tristesse, car elle avait une chose que je ne pouvais donner à Jared. Si je tombais enceinte, mon enfant, serait pourchassé par Moon, jamais je ne pourrais avoir d'enfant tant que mon histoire ne soit pas fini. Je sors le papier sur la table tranquillement , je ne tremble pas, je suis neutre, cela devrait étonné Beth peut être. Je n'ai pas peur. Je ne peut m'empecher de sourire à Beth. Puis Jared. Je ne veux pas me battre, étrangement, un enfant à besoins de son père.

Tu as de la chance Beth, murmurais-je tranquillement, face au faite que tu puisse donner la vie, je ne peux te battre, cela met impossible, mon ton est calme, pausé, mon coeur pleure je crois, donner la vie, voila quelque chose qui met interdit, pour que cet enfant ne finisse pas comme Nate. ça ma l'air d'un très bel enfant. Mais je ne savais pas, que tu étais capable de détruire ainsi Jared. Moi même, jamais je ne prendrais un tel procédé.

Jared était à des lieux de celui-ci, à des lieux de l'enveloppe de Lily, de se qu'elle pouvait dire et même de Beth, il était resté figé sur la photographie de son pére tenant dans ses bras un enfant ressemblant à un ange tombé du ciel, son fils, Joshua, un enfant qu'on lui avait caché, un enfant qui était né d'une bêtise d'ado, celle de coucher avec un fruit défendue, un enfant pourtant en parfaite santé, déjà grand et fort. Le voila pére, c'était quelque chose qu'il avait rarement imaginé, se disant toujours qu'il ne ferrait d'enfant qu'une fois possesseur directe de l'empire familiale, c'est à dire une fois son pére mort, puis quand il y pensait ces derniers temps, il voyait un enfant blond aux yeux vert/bleu, ceux de Lily, non de Beth, mais pourtant, il ne pouvait pas se montrer en colére contre cet ange qu'on lui attribuait, non, il fallait simplement qu'il agisse en conséquence,qu'il se batte pour lui... Il avait plein de question en tête, il avait également une envie folle de tuer Beth pour ne lui avoir rien dit et l'avoir priver de cette joie. Mais maintenant qu'il y pensait, la jeune fille avait cherché à le lui dire, mais il était partit...

Est ce que cela changeait quelque chose qu'il soit le pére du fils de sa cousine ? Est ce que cela changeait le faite qu'il aimait plus que tout Lily ? Non, ça il en était certain et quand son cerveau se reconnecta à la réalité pour l'entendre dire ce qu'elle disait, il eut le désagréable sentiment qu'elle se retirait.

Il voulut lui dire quelque chose, d'ailleurs il avait elevé les yeux vers elle pour le faire, mais rien ne voulait sortir, la seule chose à laquel il pensait été cette paternité qu'il devait endosser, cette responsabilité nouvelle qu'il était pas prés à assumer, surtout sans sa femme.

Le silence de Jared était pour Beth la plus grande des victoires, elle connaissait plus que quiconque la nécessité de donner un héritier à une grande famille, quand elle avait retrouvé sa mére, et lui avait annoncé la naissance de cet enfant, cette derniére n'avait éprouvée aucune colére, elle l'avait simplement prit contre elle et lui avait dit que maintenant elle devait apprendre à être une vraie Von Wodsen, c'est à dire forte, responsable, et elle était devenu cette personne.

Elle regarda Lily, avec un regard triomphant, oui elle avait de la chance, car s'était elle qui allait offrir la plus grande source de bonheur à Jared dorénavant, son oncle avait tout fait pour que son fils retourne avec la mére de son enfant, et tout sera exposé le jour de Noel, en France. Beth était heureuse, elle avait gagné. Lily sortait définitivement de leur vie.

Tout les moyens sont bons pour t'écarter ma chére Lily, et puis je ne détruis pas Jared, je lui apporte ce que jamais tu aurais pu lui rapporter apparement... Je suis simplement meilleure pour lui que tu ne le sauras jamais.

Je regarde Jared un long moment, puis finalement, lui murmure un pardonne moi à travers mes yeux vert. Maintenant que j'y repense mon amour, j'aurais du partir au loin avec toi, maintenant que j'y pense mon amour , j'aurais dut t'écouter le soir où tu as tout découvert sur le faite que je sois une héritière, j'aurais dût être égoïste, & tout abandonner, j'aurais dût t'aimer comme je t'aime aujoud'hui. Mais si je le faisais, je t'aurais tuer. Beth je rammène à la véritée. Je regarde lentement Jared. Beth n'existe pas, elle est loin.

Pardon, dis-je à voix haute, un enfant t'attend, & tu sais que là, je ne pourrais jamais te retenir Jared. Si je te donne un enfant à l'heure d'aujourd'hui, tu sais comment ça fin, je sais que je ne pourrais pas vivre cette peine, et je ne voudrais jamais te faire vivre ça, il n'aura même pas eu le temps de prononcer son premier mot, qu'il nous sera enlever. Je ne peux accepter cette idée, pas temps que notre monde ne sera pas en paix. Ma voix tremblait un peu, profite de ton fil Jared, et dis toi que si il est en vie d'ici dix ans, se sera grâce à moi. Je le regarde tranquillement et fait un sourire, Beth ne le sait pas, mais sans le savoir elle me devra cette chandelle, celle d'avoir sauver son fils, & cela me va.

* Il y a des moments où votre monde s'écroule, tous files entre vos doigts sans que vous puissiez faire quoique ce soit, alors petit à petit vous vous sentez vidés, comme une conquille sans âme. Je suis là, à la regarder sans comprendre ce qu'elle me dit, je suis là et je ne pense qu'a une seule chose; au désastre que serait ma vie sans elle. Je l'aime, je le sais, je le lui ai dis, j'ai besoin de le lui redire encore, elle m'aime aussi, et pourtant il semble que nous n'ayons plus rien dorénavant. Qu'est ce qu'il s'était passé ? Nous étions mairiés et heureux et maintenant nous nous retrouvons loins de l'autre, comme si toute une vie s'était mis entre nous, et peut-être étais ce le cas, peut-être qu'au final, nous avions réellement perdu tout.

Qu'avions nous mis à part l'amour ? Rien. Beth est arrivée. Je pense que je la hairiais toujours pour ce qu'elle vient de faire là, je pense que jamais je n'arriverai à effaser de ma mémoire qu'elle m'a mentit et utilisée notre fils dont j'igniorai l'existence pour détruire mon bonheur et tout ce à quoi j'aime dans la vie, elle ne le sait pas, mais elle vient de perdre l'amour et l'estime que je lui portais*

Je t'aime Lily.

*Non je n'avais pas honte de le lui dire, non je n'avais pas peur non plus, je tenais simplement qu'elle le sache*

Jared se pencha brutalement par dessus la table, attrapa son visage délicatement et l'embrassa passionnément, le baisser avait le gout de tous leurs baisser passé, il était forte, passionné, à l'image de leur amour qui se voulait sans équivalent dans l'histoire des amants.

Rien ne pourra changer cela.

Lui assura t'il, en la relachant, même si elle avait raison, il devait partir, il devait s'occuper de ce fils, fils qu'elle, celle qu'il aimait, ne pouvait lui donner, mais qu'elle, celle qu'il haissait lui offrait.

Il me dit je t'aime je reste idiote, il m'embrasse, et je me rend compte de ce qu'il se passe, je le perd, je le perd car je suis une héritière, oh que je te hais Emireul, que je te hais, de m'avoir crée une vie à problème. Alors tout d'un coup, des larmes coulent discrettement le long de mes joues, des larmes qui veulent tout dire "ne pars pas ! Pas loin de moi à nouveau, je me battrais si il le faut". Mais je le sais parfaitement que je ne peux rien empecher à ce départ, sauf si j'annonçait ma véritable identitée à ses parents, ils seraient que si ils forçaient leurs fils à me quitter, ils y auraient un deshonneur total, mais je ne peux prendre ce risque. Je suis une héritière de Gremort, pas une héritière capricieuse comme Beth, je dois me montrer résonnable, & garder mon identité, ne serait-ce que pour toi mon amour. Ton physique te protège de Moon, pour le simple faite que tu ressembles à Nate, mais il ne te protégera pas face à lui.

Je t'aime Jared, qu'importe ce qu'il arrive, jamais je ne pourrais oublier ça ! Pardonne moi mon amour, de tout simplement pouvoir rien faire. Pardonne moi

Je me mord la lèvre, je peux faire quelque chose, je pourrais le faire, mais jamais je n'accepterais de dévoiler mon identiée au risque des autres. & puis je suis sure qu'il y avait un autre moyen, mais je ne pouvais privé un enfant de son père. & Jared pourrait refuser son droit de parténité, mais jamais je lui demanderais ça ! C'est cruel. Je ne suis pas Beth

*On dit souvent qu'il n'y a pas de met plus déléctable que la vengeace accompagnée d'une victoire, alors pourquoi ai-je aussi mal ? Pourquoi mes mains tremble et pourquoi ai-je le sentiment d'avoir perdu ? Je pensais que si je parvenais à montrer Jared que grâçe à moi, la famille allait perdurait, qu'il n'était plus obliger de rester marié à cette femme, il me reviendrait, heureux, cessant de jouer l'amoureux transis auprés d'une fille comme elle, mais apparement j'avais tord, il est là à lui dire des mots qu'il ne m'avait jamais réellement dit, et à l'embrasser d'une façon qu'il n'avait jamais fait. Il est là, ignorant les clichés d'un enfant conçu dans l'alcolve d'une de nos nuits, pour pouvoir se déchirer d'un rupture qui le détruit. J'ai tellement mal à cet instant, mais je ne dis rien, je ne prend même pas la peine de détourner le regard, je me contente de me montrer forte.*

Oh par pitié, cessons les mélodrames, ce n'est pas comme si vous ne pourrez plus jamais vous revoir...

Beth parlait d'une voix calme, cherchant encore à achever son jeu, même si elle n'en retirait plus autant de plaisirs.

Quoiqu'il est vraie que Jared n'obtiendra ses droits de visites que s'il renonce à votre relation, montrer à son pére qu'un enfant n'est pas avec sa mére, peut être totalement choquant, c'est ce qu'a décidé notre cher juge.

Un juge grasseusement payé par Oncle Von Wodsen, qui ne souhaitait pas voir son petit fils ridiculisé et sa nouvelle belle fille et niéce perdre la face. Ah la famille.

Cette fois-ci, cela en était trop, Beth jouait avec le feu, Jared ne supportait plus la maniére dont elle semblait apprécier son malheur, leur malheur, il se retourna vers elle, les yeux lançant des éclairs, non il ne lui donnerait pas le plaisir de gagner, pas face à Lily, elle pouvait les séparer, mais pas détruire leur amour, bien que déja il le sentait moins fort.

Sa suffit Beth. Tu as peut-être enfanté un Von Wodsen, mais tu n'en restes pas moins indigne de prétendre à mon coeur, ferme là, jamais tu m'entend je serai à toi, et si tu croyais y parvenir de cette maniére, tu te trompes ma jolie. J'aime et j'aimerai toujours Lily, elle est la seule qui portera jamais le nom Von Wodsen.

Il se retourna ensuite vers celle qui avait été sa femme, et qu'il considérait toujours ainsi.

Ce n'est pas grave si on doit être séparé pour le moment, quand j'aurai reussis à récupérer mon fils, et parvenir à contourner tout cela, je reviendrais vers toi et n sera ensemble, je te le promet.

Il prit la veste qu'il avait laissé sur le dossier de sa chaise et la mit sur son dos, il avait réellement besoin d'être seul là, et puis de toute façon s'il restait, il arracherait la tête de Beth, or elle était la mére de son fils, il devait rien lui faire.

Beth fais tes valises, on rentre en France demain.

Ce n'était pas une question, ni une demande, mais un ordre. Et sur ces paroles, il tourna les talons et disparut petit à petit dans la nuit sombre.

Il ferme le clapet à Beth, il lui donne des ordres, je reste bouche bée, idiote, je ne le retient même pas part le bras, je ne peux pas le retenir je n'ai plus la force, je ne peux plus,je suis détruite. Je ne vois plus Beth, je ne sais qu'une chose, nous nous séparons. C'est une rupture brutale, indigne, d'un amour fort & pur. Je t'aime Jare, JE T'AIME Jared ! Mon coeur bat, je tiens sur mes jambes. J'ai si mal vécut notre séparation quand tu la désirée, j'étais une coquille vide, qui savait qu'un moment où un autre tu reviendrais vers moi. Mais là , nous sommes dans un tout autre combat, nous sommes peu sur de gagner. Alors je le sais, je deviens sucidère. Plutôt mourire que de te laisser dans ses bras, alors que tu ne le désires pas. Je repense à Shiri, ma louve préféré, qui m'avait sauvez tant de fois. Je repense à Helena & Daniel, un si beau couple, & je repense à Depp. Depp pardonnez moi, Depp, excusez moi au plus profond de mon coeur, ce que je vais faire, je le sais, vous ne me le pardonnerez jamais, mais comprenez moi, oui je ne peux pas vivre loin de lui, si lui même ne le désire pas.

Come what may! I will Love You

Murmurais-je doucement, en me levant de mon siège, je ne regarde même pas Beth, je ne prend pas ma veste qui coute une fortune. Je mets un terme à ma vie, je sors du restaurant, et se soir, j'affronterais Moon en personne. Je sais comment te faire venir, je le sais que trop.

[Depp ne la laissera pas faire...]

Beth avait appris à ne jamais contrarier Jared, or ce soir elle devait l'avoir mit dans une rage sans précédent, aussi quand il lui parla si mal, se contenta t'elle de l'écouter,et de baisser le regard, elle n'était pas follle, elle ne voulait pas risquer sa vie, elle savait trés bien que l'idée de la tuer avait du germer dans son esprit, mais heureusement son petit ange la protégerait, puis il était partit, et ne restait plus qu'Evri, qui pitoyablement lacha un quoiqu'il arrive, mais le quoiqu'il arrive était arrivé, et cette fois-ci, elle avait perdu. Quand elle partit elle aussi, s'en même prendre son manteau, Beth jugea qu'elle était folle, puis finalement s'en ficha, et se contenta de lever la main pour appeler le serveur.

Pouvez vous débarasser les couvers et me ramener une assiete de boeuf et aux pommes de terres s'il vous plait.

Ce n'était pas une scéne de ménage qui allait couper l'appétit à Mademoiselle Betty Joy.

[j'en doute pas un instant xD ... mais Lily est tétu ne l'oublions pas !! (A) & beth est une peste !! ]

[Mdr c'est vraie, mais fiére de l'être aussi je suppose ^^]

[heureuse que tu vois comment je fonctionne =P ]