Comme dans un mauvais film ( Free )

Will avait laissé Bridget, comme ça, planté dans ses escaliers qui abriteraient à présent de mauvais souvenirs et étaient partie, le nuage de pluie le suivant jusqu'à se poser dans le cimetière, assis sur un grotesque banc en granit. Les nuages avaient continué à déverser leur larmes de tristesse sur le dos de l'humanité encore longtemps. Et puis soudainement, tout s'arrêta et une éclaircie se fit voir. Il était trempé, ses vêtements lui collaient à la peau et sur ses longs cils noirs perlaient encore quelques gouttes de pluie qui ressemblaient à des larmes. Pourtant, il n'avait pas froid. Il ne ressentait jamais le froid, tout comme il ne ressentait pas la faim, la soif, la peur, la tristesse ... Il était une carapace d'acier. Un mur que deux personne avaient tout de même réussi à ébrécher. D'abord Lucy qui avait touché son coeur, juste à peine mais juste assez pour lui faire du mal. Et la seconde, Bridget, qui était carrément entrée à l'intérieur et déversait la douleur partout dans son corps. Elle était un poison exquis.

Will soupira en fixant toujours la même brindille qui se relevait après la tempête. Les coudes appuyé sur les genoux et le dos penchés en avant, il contemplait la verdure devant lui, sans aucun intérêt. Toute cette situation commençait à le rendre fou et l'amenait à sa perte. Il fallait qu'il fasse quelque chose n'importe. Mais quelque chose, c'est tout.

[Gabby histoire de se défouler =D ?!]

[ Si tu veux, mais Gabby risque de se faire assassiner xD ]

[Not grave, faut qu'il se tie de toute façon, alors autant qu'il se fasse bien charcuter avant =D !]

[ Alors, let's go =D Will va l'assassiner. Muhaha hihi ]

Plus rien n'allait comme il le voulait. Et sa meilleure poupée se faisait la male. Les autres commençaient à vouloir faire pareil, mais il avait encore un minimum de contrôle sur elles. Son père n'était toujours pas au courant de tout ce rafus, mais ça ne durerait pas. Autant le retardé le plus possible.
Fatigué, Gabriel se massa la nuque et passa sa main sur la cicatrice qui ne s'effacerait pas... Bridget l'avait mordu au cou, une vraie sauvage ! Il n'aurait jamais pensé qu'elle réagirait ainsi en apprenant qu'il les avaient dénoncé, elle et sa famille, aux russes. Il l'aurait cru plus... démolie. Mais non. Elle était comme remontée à bloc, plus rien ne l'effrayait. Note pour l'avenir, ne pas s'attaquer à la famille d'une forte tête.
Il croyait avoir le dessus, planté ! Et m*rde !
Pour passer le temps, il trainait dans le cimetière. Tiens, il mettrait bien Bridget ici... Ca lui irait bien, la fausse commune !

Tiens ? C'était qui là bas, sur un banc ? Will Martins ? Avec cette tête de désespéré ? Nan ! Si ? Gabby s'approcha... Mais si !
Il sourit. Parfait ! Il s'avança à grands pas vers le jeune homme, ravi de pouvoir se défouler sur quelqu'un. C'est vrai, il avait entendu parler du départ de Bee. Oh ! Pauvre Willy !

Alors Martins, t'as décidé de claquer et tu cherches l'emplacement idéal ? lança-t-il avec un grand sourire une fois qu'il fut près de Will.

Will leva la tête, puis se redressa totalement. Il observa Gabriel avec curiosité, néanmoins ses yeux étaient vides de toute expression. Oh non, il ne comptait certainement pas mourir aujourd'hui. Il se redressa, faisant face à Gabriel. Il était plus grand, il le dépassait d'une bonne tête, que lui mais son rival était plus large d'épaules. Un sourire féroce, sauvage, inexorable s'étendit sur le visage du jeune homme. C'était à cause de lui que Bridget était obligé de partir, la haine montait, prenait possession de sa raison et, sans rien dire, il ne parlait pas aux gens comme Gabriel, il asséna le jeune homme d'un coup de poing violent, y mettant toute sa force et toute sa rage dans ce coup irascible. Gabriel s'abattit sur le sol, trop surpris de la virulence de la réponse de Will. Puis toujours sans dire un mot, il lui assena de coup de pieds toujours aussi véhément et meurtrissant, il le brutalisa à coup de pieds dans les côtes et les visage.

Will avait toujours été un enfant puis adolescent violent, agressif. Son tempérament était sombre et coléreux. Les fois où il était dans une telle colère incontrôlable était tout de même rare. Il les comptait sur les doigts d'une main mais à chaque fois, ça finissait mal. Il avait de la force et sa hargne lui en donnait plus qu'il ne lui en fallait. Même son père en avait été surpris un jour, où il avait levé la fois de trop la main sur Will. Ce dernier avait foncé sur lui, lui avait sauté à la gorge et l'avait frappé, de toute sa force de môme de dix ans. Son père était, évidemment, bien plus fort que lui mais il garda néanmoins les traces violacées des poings de Will sur ses tempes de nombreux jours.

Ne voyant toujours pas ce qui se passait autour de lui, trop obnubiler par la destruction qu'il envisageait pour Gabriel. Il releva le jeune homme meurtri par ses coups par le col et le plaqua contre une sepulture. Son regard faisait peur. Will n'avait certainement pas peur de tuer quelqu'un. Surtout quelqu'un qui avait plus sa place en Enfer qu'autre chose.

[ faut intervenir ou pas ? mdr ]

[ Pas de suite, d'abord j'veux le tuer xD ]

[Pile au bon endroit, après tu l'enterres et se sera comme si rien ne s'était passé =D ! ... Les inspecteurs sorcier ont des techniques aussi développées que celles moldues oO ?!]

Ca non plus, il ne s'y attendait pas ! Enfin si, mais pas à ce point là ! Gabriel n'arrivait même pas à se relever, Will frappait vite, et fort. Il avait sûrement une côte, ou plus, de casser ! Il se sentit soulever du sol et plaquer violemment contre la pierre dure et froide. Il jeta un coup d'oeil à son agresseur. Il était dans une rage folle. Ca faisait peur à voir. Blondy Boy se mit pourtant à sourire.

Pile au bon endroit... t'auras plus qu'à m'enterrer après ! lança-t-il sur le ton de la rigolade. Après, t'expliqueras ça à Bridg', chuis sûre qu'elle en sera folle de joie et qu'elle te tombera dans les bras !

Il était fou de provoquer Martins comme ça, il le savait, mais ça l'amusait de voir à quel point sa poupée favorite avait rendu ce mec dingue d'elle ! Will en était presque réduit à l'état sauvage ce soir !
Avant que celui-ci ne puisse protester, Gabriel lui flanqua un coup de poing dans le ventre qui le fit se plier en deux, et un coup de genou dans le torax. Il rit doucement. Il n'allait pas se laisser faire non plus ! Il envoya son pied contre la tempe de Will et le fit tomber au sol. Chacun son tour !
Il adorerait le voir claquer ici ! Se serais jouissif ! Il lui avait volé sa plus précieuse poupée, fallait bien qu'il paye !

[ Heu, certainement un peu plus. Bon, bon ... Etant donné que j'ai accepté que W et B finissent ensemble quand tu reviens de Pologne, je veux que Will batte Gabriel. En tant que compensation =D ]

Will s'abattit sur le sol, envoyé brutalement contre le sol par la force de ce détesté Gabriel Evans. Il resta quelques minutes, ainsi étendu sur le sol, la machoîre dans la poussière du cimetière. Ses yeux n'étaient plus que de prunelles noires de rage. Oui, il était sauvage, violent, hargneux ... La raison n'avait aucune autorité sur son corps. Toutes ces idées étaient focalisées sur la future mort de ses mains de Gabriel Evans. Peu importe, il n'irait pas en prison. Son père trouverait toujours le moyen de soudoyer ces crétins de magistrats. Ce n'était pas la première fois qu'il se battait, ni la première fois qu'il tabassait un type au point qu'il en pleurait.
Il était psychopathe, misanthrope et asociale.

Will se redressa, il avait mal mais bizarrement la douleur glissait sur lui. La douleur, quelle chose dérisoire lorsqu'on s'appelait Will Martins. Il dépoussiéra ses vêtements coûteuses d'un geste indifférent et regard à son tour Gabriel, au visage criblé de bleu et de sang coagulé. Son sourire était tordu à cause de sa lèvre gonflée mais peu importe ...

Ah Bridget, Bridget ... Tu dois avoir autant ce prénom dans la tête que moi. Vraiment Gabriel, il faudra que tu m'expliques comment tu fais pour ne pas t'être rendu compte que tu brisais une fille parfaite. Will s'avança jusqu'à lui. Tu sais que je sais prédire l'avenir ?

Gabriel sourit. Un sourire à la Joker. Un sourire de fou, de psychopate.

Mais je le sais, affirma-t-il, et tu sais quoi ? C'est ça qui m'plaisait. Je la diminuais petit à petit et en faisait mon jouet. Cette fille parfaîte était à moi, et j'ai bien cru un moment que tu me la volerais, mais non, elle revenait toujours vers moi...

L'air triomphant qu'il arborait quelques instant plus tôt disparu lentement pour laisser place à de la colère.

Mais avec tes bons sentiments et tes conneries de grand sauveur, elle se tire. J'irais la retrouver de toute façon, elle me tombera encore dans les bras, elle fait la forte, mais elle est comme toutes les autres : juste faible.

La cicatrice de son cou se mit à le piquoter, comme si le peu de conscience qui lui restait voulait lui faire comprendre qu'il avait tord, qu'aujourd'hui Bridget n'était plus à lui et qu'il fallait qu'il sorte de ce délire. Mais rien n'y fit. Il y croyait dur comme fer.

Will observa Gabriel quelques secondes avant d'arranger les ourlets de ses manches qu'il avait retroussé auparavant. Puis, il ramena ses yeux d'un teinte toujours aussi sombre sur le visage de Gabriel. En plus de la colère, il ressentait une profonde pitié pour ce garçon. Il vivait dans un rêve, il sous-estimait Bridget. Il n'avait heureusement plus envie de le tuer et finalement même plus envie de le frapper.

Une vieille sorcière passa sur le chemin de graviers, observant les deux jeunes hommes d'un air sévère et appeuré. Les hésitations de Will s'envolèrent aussitôt et sans sourire, il répondit :

Mon pauvre gars. Redescend de ton nuage de pseudo-psychopathe. Il sourit enfin. Tellement sarcastique ça le rendait imposant. Tu as été un jour important pour Bridget, mais je te présente aujourd'hui ta relève. Il écarta les bras pour se présenter. Tadadam ! Il éclata d'un rire sombre. Tu n'es qu'un brouillon par rapport. Je suis Docteur Jekyll, tu es Mister Hyde. Bridget n'est pas idiote, maintenant qu'elle a trouvé quelqu'un pour lui faire du bien, elle se tournera vers moi plutôt que vers toi qui jouit dès qu'elle a mal par ta faute ! Tu me fais tellement de peine, Gabriel. Tellement mal aimé au point de faire du mal à la fille que tu aimes. Parce que bien sûr tu l'aimes.

Will tourna la tête vers la vieille dame qui faisait semblant de se receuillir devant une tombe, peut-être celle de son feu mari, mais qui en réalité, les observer avec toute la curiosité qu'avait les vieilles dames. Will fit un pas vers Gabriel et lui chuchotta à l'oreille, d'un ton plus dur :

Si tu vas en Italie, ne serait-ce pour essayer de vouloir du mal à Bridget et sa famille, tu te feras tuer dans l'heure qui suivra. Les mafieux italiens chez qui j'ai placé Bridget sont drôlement fort. Les plus puissant de Naples. Et si ce n'est pas eux qui se charge de toi, ce sera moi. Oui, je suis devin, ce sera moi qui choisira de quand tu devras mourrir. Et crois-moi un sortilège c'est vite lancé. Surtout, cher Gabriel, bonne fin de journée.

Il fit semblant d'ôter un chapeau fictif puis tourna les talons, saluant au passage de sa courtoisie exacerbé mais qui marchait à chaque fois, la vieille dame.

Une petite voix, une toute petite voix presque inaudible tentait veinement de hurler à Gabriel que Will était loin d'avoir tord. Mais la folie l'emporte souvent sur la raison. I ne voulait pas y croire. Il n'avait pas perdu Bridget. Jamais. Elle serait de nouveau à lui, et vite. Ce ne sont pas les menaces d'un pseudo-héro qui lui feront peur, loin de là !
Et pourtant, au fond de lui, Gabriel doutait. Les yeux de Will ne mentait pas, s'il tentait quelque chose, il le tuerait sûrement. Son père le tuerait ensuite, mais ce n'était pas une raison, il n'avait pas envie de mourir jeune. Quand son père sera au courant de tout, il l'aidera sûrement à récupérer Bridg'. Une bonne offre, quelque chose qu'elle ne pourra pas refuser ! Allez savoir quoi, mais il la retrouverait !
Il tenta d'ignorer les paroles de Will qui résonnaient dans sa tête et qui lui faisaient mal. Oui, il aimait cette fille, cette blondinette pleine de charme, et il avait tout fait pour que ses sentiments lui soient retournés, mais nan. C'est ce Martins qui avait droit à tout les mérites ! Il lui avait offert la sécurité, un boulot pas ch*ant, et son coeur, mais elle n'avait pris que les deux premiers cadeaux. Il lui ferait sûrement payer ça, mais pour l'instant, c'est à ce Will qu'il en voulait !

Il rammassa une pierre au sol et leva le bras. La vieille le regarda, effrayée, et eut à peine le temps de crier un " ATTENTION ! " que le cailloux frappa violemment la tête de Will. Il lui défoncerait la boîte cranienne, à c'c*nnard !

Will grimaça de douleur lorsque la pierre s'écrasa derrière sa tête. Il fronça les sourcils et malgré la douleur ne se passa pas la main derrière la tête. A tout les coups, il devait saigner. Il se retourna mais n'avança pas.

Gaby, Gaby, Gaby... Soupira le jeune homme. La force de tes deux poings est si faible que tu es obligé de me jeter des pierres comme un garçon de 6 ans ? Voyons ... Viens donc te battre un peu, histoire de montrer que tu n'es pas un eunuque

Gabriel lança un regard meurtrier à la sorcière, qui prit peur. Elle la toisa un instant puis reporta son attention sur Will. La femme partit précipitament. Il fixait son ennemi. Un eunuque ? L'insulte lui fit monter l'adrénaline d'un coup et à forte dose et il se jeta sur Martins, le frappant au visage.
J'ai tout donné à cette g*rce et c'est toi qui la gagnes ?! J'te l'pardonnerais pas Martins !

Bien qu'il s'y attendait, Will ne réagit pas tout de suite. Ses bras lui servaient pour l'instait à se protéger le visage et à parer les coups de Gabriel. Ah, il était beau le petit quand il était en colère. Puis ayant assez de se faire frapper, deux minutes après, il balança du coude Gabriel à côté de lui.

Ne me met pas de nouveau en colère, espèce d'idiot. Rends-toi à l'évidence. Le seul '' tout '' que tu lui as donné, c'est toutes les souffraces imaginables du monde. Tu ne lui as fait aucun bien. Et jamais de ta vie tu ne souffrirasa le tiers de ce qu'elle a enduré à tes côtés. Bridget a changé le fusil d'épaules, je suis son nouveau filet de sécurité, toi tu es à peine bon pour ses souvenirs. Oublie-la et vis ta vie de taré ailleurs.

Gabriel se sentit poussé sur le côté et n'aima pas ça du tout. Il détestait ne pas avoir le dessus sur quelqu'un !

Mon père les a sauvé et elle n'avait qu'une maigre compensation à fournir, juste la fermer et être belle, j'vois pas en quoi ça lui compliquait l'existence, et d'ailleurs elle adorait ça avant de vous rencontrer, l'autre blondasse et l'autre brunette, avec les deux autres crétins et toi ! D'un seul coup, sa vision a changé, elle s'est dit que peut-être c'était pas bien pour elle de faire ça, que ça l'humiliait, avant elle s'en balançait ! Elle faisait c'qu'on lui disait, gagnait son fric et sa sécurité, et tout était parfait ! Du jour au lendemain, elle a plus voulu m'écouter, alors j'ai d'abord fait en sorte qu'on brûle ses costumes, histoire de lui rendre les choses plus difficiles, et comme mademoiselle avait de plus en plus de " mal " à faire son boulot, j'l'ai emmenée à Paris pour lui faire comprendre que c'qu'elle faisait c'était rien comparé à d'autres ! Mais puisque tout ce que je faisais lui convenait, j'l'ai réduit au même rang que les autres !

Il envoya son poing dans le ventre de Will, qui évita le coup sans trop de difficulté, le faisant enrager un peu plus.

Et te voilà, grand sauveur, alors que j'allais juste la corriger un peu ! Et maintenant elle se tire ! J'lui ferais payer ça à cette garce pas foutu de remercier les bonnes personnes !

Cette trainée ! Il avait été son meilleur ami pendant des années et aujourd'hui il n'était plus rien pour elle ! Elle paierait pour ça, pour la souffrance qu'elle lui avait infligé, oh oui !

Will restait impassible pourtant, il était réellement abasourdie que Gabriel arrive à sortir de telles stupidités en y croyant vraiment. Et bien, il allait jouer au sermoneurs. Sans ménagement, il redressa Gabriel par le col, le tenant fermement au cas où ce blondinet est la mauvaise idée de lui coller de nouveau un coup de poing. Mauvaise idée, oui. Will était à un cheveux de retomber de nouveau dans sa fureur destructrice.

Personne ne mérite de vendre son corps. Tu l'aimes oui. Quand on aime quelqu'un on veut son bonheur. Soit tu la laisses partir afin qu'elle soit heureuse, soit tu te mêles encore de sa vie et c'est moi qui vais devoir rétablir l'ordre à ma façon. Et ça fait mal mon gars. Tu n'es pas le seul à forcer les gens à quoi que ce soit. Tu me supplieras d'arrêter crois-moi. On ne manque pas d'idée ... Cracha le jeune homme d'un ton menaçant et vague. Tu es tellement fanatique. C'est triste. Tu me fais de la peine.

J'ai tout fait pour son bonheur ! s'obstina Gabriel.

C'était ridicule et il était ridicule, mais il ne s'en rendait pas compte et ne le comprendrait sûrement jamais. Pour lui, Bridg' était la fautive, celle qui n'avait rien compris.
Il tenta de se dégager, mais la prise de Will était trop forte. Merde ! Il détestait se sentir plus faible qu'un autre !

Garde ta peine pour l'autre garce, lança-t-il, et lâche moi !

Will le relâcha avec compassion. Ce pauvre type vivait dans un idéal de toute évidence. A quoi bon le frapper ou lui faire la morale, il resterait toujours aussi fanatique sur ses utopies mensongères.

Ne t'avise pas de me lancer de nouveau une pierre. Le prévint simplement le jeune homme avant de tourner les talons.

Gabriel remit ses vêtements en place. Tss, quel c*n ! Ca s'pairait !

Comme si tes menaces allaient m'faire peur, Martins ! s'indigna presque Gabby en rajustant son col.

[Locked !]